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La feuille de route de MEYLE pour la neutralisation des émissions de CO₂

Nous sommes convaincus que nous devons prendre nos responsabilités afin de laisser aux générations futures un environnement intact et de leur permettre de vivre dans un avenir digne d’être vécu.

Pour protéger l’environnement et ralentir le changement climatique, il est essentiel que nous nous fixions des objectifs ambitieux en matière de CO₂. C’est pourquoi nous sommes fermement décidés à atteindre la neutralité carbone pour tous nos produits d’ici 2030.

Dans ce but, nous développons une chaîne de valeur durable pour la protection de l’environnement et du climat, et ce du développement du produit jusqu’à son expédition. Notre vision est d’être « ceux qui ont les meilleures pièces automobiles et les plus durables ».

 

Avec MEYLE HD, nous avons commencé il y a déjà 20 ans à développer des pièces de rechange qui durent plus longtemps et qui sont plus fiables, car les véhicules équipés de pièces plus fiables et plus durables restent tout simplement plus longtemps sur la route, les réparations et l’entretien sont plus efficaces et l’achat d’un nouveau véhicule peut être retardé. Et avec la première ligne de produits MEYLE HD certifiée climatiquement neutre dans le domaine du suspension et de la direction au sein de l'IAM, nous avons franchi une nouvelle étape.

Bras de suspension 3 en 1


1ère étape : Mesurer les émissions de CO2

À la demande de MEYLE AG, ClimatePartner a réalisé un calcul des émissions de CO₂ du produit MEYLE HD Suspension et direction (S&S, Steering and Suspension) en se basant sur le protocole GES (« Greenhouse Gas Protocol Product Life Cycle Accounting and Reporting Standard »).

L’empreinte carbone du produit a été calculée selon l’approche « Cradle-to-customer plus End-of-life ». Nous avons pour cela tenu compte des émissions tout au long des phases du cycle de vie : extraction et prétraitement des matières premières et de l’emballage, production, livraison du produit jusqu’aux portes de l’usine du client, ainsi que les émissions les plus importantes lors de l’élimination du produit et de son emballage.




Dans le cadre de l’approche « Cradle-to-customer plus End-of-life », le calcul se concentre sur les processus pouvant être contrôlés par le fabricant. Les émissions de la phase d’utilisation ne sont généralement pas contrôlables et font l’objet d’hypothèses et d’estimations ; elles n’ont donc pas été prises en compte dans le calcul.

Dans la mesure du possible, le calcul a été effectué à partir de données primaires. Lorsque cela n’était pas faisable, nous avons utilisé des données secondaires provenant de sources reconnues. Les facteurs d’émission pris comme base proviennent de bases de données internationalement reconnues telles qu’ecoinvent ou GEMIS. Tous les gaz à effet de serre pertinents ont été examinés mais, pour une meilleure comparabilité, les calculs ont été effectués avec des équivalents CO₂.

Les émissions qui ne peuvent pas être directement attribuées au produit mais nécessaires à sa fabrication, comme le trajet des collaborateurs ou les déplacements professionnels, ont également été prises en compte dans le calcul en tant qu’émissions indirectes.

2e étape : Réduire

La protection globale du climat suit le principe suivant : éviter autant que possible les émissions, réduire les émissions existantes et compenser les émissions inévitables. Le calcul de l’empreinte carbone des produits permet d’identifier les potentiels d’évitement et de réduction et, sur cette base, de compenser les émissions inévitables. Le produit devient ainsi climatiquement neutre et peut être caractérisé comme tel.

Éviter et réduire

Pour éviter et réduire les émissions, il existe généralement deux possibilités.

  • Il est possible d’éviter les émissions avant même qu’elles ne se produisent grâce à une conception innovante des produits et à la réduction des matériaux qui en découle, à une meilleure efficacité énergétique dans la production ainsi qu’à un approvisionnement régional des matières premières et des emballages.
  • En optant délibérément pour des matières premières et des emballages, des sources d’énergie ou des moyens de transport moins polluants, il est possible de réduire encore les émissions des produits.
     

3e étape : Compenser

La mise en œuvre de mesures de réduction du CO₂ se fait généralement étape par étape sur une période prolongée. Parallèlement, il est recommandé de compenser les émissions qui n’ont pas pu être évitées jusqu’à présent par le biais de projets de protection du climat reconnus à un niveau international. Il est prouvé que les projets de protection climatique permettent d’économiser du CO₂, par exemple grâce au reboisement ou au développement des énergies renouvelables. Des organisations indépendantes contrôlent le niveau exact des économies de CO₂. Ces économies sont vendues sous forme de réductions d’émissions certifiées pour financer le projet. Vous trouverez de plus amples informations à la page https://www.climatepartner.com/de/klimaschutzprojekte.

En compensant les émissions générées, le produit MEYLE HD Suspension et direction (S&S, Steering and Suspension) devient climatiquement neutre. Ainsi, dès la première étape, la responsabilité est assumée pour les émissions que l’on ne peut pas encore éviter actuellement.

Pour garantir que toutes les émissions générées sont compensées dans les limites du système, une marge de sécurité de 10 % est appliquée sur le résultat global. Cela permet de compenser les éventuelles incertitudes des données de base qui résultent naturellement de l’utilisation de valeurs provenant de bases de données, d’hypothèses ou d’estimations, par exemple.

Le premier grand projet de protection du climat de MEYLE grâce à la compensation des émissions de CO₂ des produits Suspension et direction MEYLE HD

L’énergie verte dans la région de la mer Noire

L’importance de la Turquie en tant que marché énergétique ne cesse de croître, tant du côté de l’offre que de la demande. Couvrir les besoins en construisant de nouvelles centrales électriques conventionnelles entraînerait inévitablement une forte augmentation des émissions de gaz à effet de serre. En revanche, si l’on veut répondre aux besoins énergétiques croissants du pays de manière durable, il faut investir dans l’utilisation des énergies renouvelables.

L’objet du projet est donc la construction d’une nouvelle centrale hydroélectrique au fil de l’eau sur le fleuve Papart dans la province turque d’Artvin. Grâce à l’énergie de l’eau et à trois turbines modernes, la centrale alimente chaque année le réseau électrique national turc avec environ 58,49 gigawattheures.

Pour une centrale au fil de l’eau de cette taille, il n’est pas nécessaire de créer un lac de retenue supplémentaire, ce qui évite de déplacer les populations vivant à proximité du fleuve et préserve les habitats naturels et les terres agricoles productives.

 

Comment fonctionne la protection du climat avec l’énergie hydraulique ?

Comme l’énergie est produite à partir de l’eau sans utiliser de combustibles fossiles, elle est considérée comme ne produisant pas d’émissions. Le développement de la production d’énergie renouvelable est essentiel pour freiner le réchauffement climatique et garantir l’approvisionnement énergétique à long terme. La quantité d’émissions économisées dans un projet hydroélectrique est calculée à l’aide de la méthode dite de référence : combien de CO₂ la même quantité d’énergie produirait-elle avec le mix électrique habituel de la région ?

 

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